Nos atouts
Une économie novatrice
Reconnue Territoire de la culture et de la création par l’État depuis 2014, Plaine Commune accompagne projets de développement et projets urbains en leur donnant une dimension artistique forte. Le territoire est aussi engagé dans le développement d'économies innovantes, sociales et solidaires, circulaires ou du patrimoine.
L’Économie du patrimoine
Labélisé « Ville d’art et d’histoire », le territoire accueille chaque année 255 000 visiteurs, sans compter les milliers de personnes qui arpentent chaque weekend les allées des Puces de Saint-Ouen.
Des sites emblématiques y sont présents : le Stade de France, la Cité du Cinéma, la Basilique Saint-Denis ou encore les Cités-Jardins de Stains et d’Épinay-sur-Seine.
Économie sociale et solidaire
Également appelée ESS, l’économie sociale et solidaire représente une autre manière de faire de l’économie. Son but ? Consommer, employer, décider, échanger et créer de la richesse autrement. C’est-à-dire en privilégiant l’utilité sociale, la qualité des rapports entre usagers et producteurs, entre salariés et entrepreneurs, tout en respectant l’humain et son environnement. Ainsi, depuis 2007, un appel à projets soutien les entrepreneurs de ce secteur économique chaque année.
Sur le territoire, l’économie sociale et solidaire regroupe 800 établissements employeurs et compte près de 9 000 salariés dans des secteurs d’activités très variés comme le développement de l’emploi, l’insertion, la formation, l’accompagnement social, la santé et le handicap, les initiatives culturelles, touristiques et éducatives.
Économie circulaire
L’économie circulaire s’oppose au modèle actuel d’économie linéaire qui consiste à extraire, produire, consommer et jeter. Elle permet d’optimiser notre consommation de ressources naturelles et de limiter ainsi notre impact sur l’environnement.
Pour appliquer ce principe à ses nombreux projets d’aménagement en cours et à venir, Plaine Commune a décidé de mettre en place une démarche de « Métabolisme urbain ». Cette démarche vise à favoriser le ré-emploi, la réutilisation et de recyclage de matériaux du BTP inter-chantiers, afin de limiter la consommation de matériaux neufs d’un côté, et la production de déchets de chantier de l’autre. Cette démarche s’appuie sur le déploiement de filières locales de valorisation des déchets de chantier, pour que ceux-ci deviennent des « matières premières secondaires ». Elle offre favorise ainsi l’émergence de nouvelles activités sur le territoire.